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Saint-Cyr-en-Arthies

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Saint-Cyr-en-Arthies
Saint-Cyr-en-Arthies
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Vexin - Val de Seine
Maire
Mandat
Martine Pantic
2020-2026
Code postal 95510
Code commune 95543
Démographie
Gentilé Saint-Cyriens, Saint-Cyriennes
Population
municipale
237 hab. (2021 en évolution de −4,05 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 03′ 41″ nord, 1° 44′ 34″ est
Altitude 123 m
Min. 75 m
Max. 172 m
Superficie 3,89 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
Législatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Liens
Site web https://www.saint-cyr-en-arthies.fr/

Saint-Cyr-en-Arthies est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Saint-Cyrien(ne)s.

Géographie

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Description

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Saint-Cyr-en-Arthies est un village rural du Vexin français du Val-d'Oise limitrophe des Yvelines et proche de la Seine, situé au fond d’un vallon à l’écart de la route département reliant Mantes-la-Jolie à Magny-en-Vexin, à 26 km à l'ouest de Pontoise, 50 km au nord-ouest de Paris, 11 km au sud de Magny-en-Vexin et 63 km au sud-est de Rouen.

Saint-Cyr-en-Arthies est situé dans le parc naturel régional du Vexin français.

Vue sur l'église et la mairie.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 707 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnanville à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Saint-Cyr-en-Arthies est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

Voies de communication et transports

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Le village est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 183 devenue RD 983.

Transports en Commun

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Il est desservi par les lignes d'autocar 95-47 et 95-44, ainsi que par le service de transport à la demande Vexin-Ouest[11]

Le village est traversé par le Sentier de grande randonnée 11 (GR 11 ou « Grand Tour De Paris ») et par l’ancien chemin de Beauvais à Mantes, connu localement sous le nom de Chaussée Brunehaut et qui est dénommé à Saint-Cyr - "rue du Parc".

Saint-Cyr

Attestée sous les noms Sancto Ciro en 1188,Sanctus Ciricus, Saint-Cir en Beausse[12].

La commune doit pour partie son nom à saint Cyr, jeune martyr chrétien du IVe siècle, fils de sainte Julitte.

Arthies

Attestée sous les noms Artegiae en 690, Arthia en 1197[13].

Xavier Delamarre[14] propose un appellatif celtique (gaulois) tegia « cabane, maison » (vieil irlandais teg, vieux breton tig, breton ti 'maison'), élément composé dans le terme attegia « hutte, cabane » qui est identifié dans les toponymes d'oïl Athies, Athée et Athis par Ernest Nègre[15], Albert Dauzat, Charles Rostaing[16] et Xavier Delamarre[17].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[18], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Magny-en-Vexin de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Vauréal

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité

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Saint-Cyr-en-Arthie est membre depuis 2013 de la communauté de communes Vexin - Val de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[20]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1925   G. Firmin-Didot    
avant 1995[21]   Jean-Pierre Barrois    
         
mars 2001 2008 Étienne Jones[22]    
mars 2008[23] En cours Martine Pantic   Réélue pour le mandat 2020-2026[24],[25]

Politique de développement durable

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Le village accueille un projet d’habitat participatif réalisé sur un ancien terrain communal de 2,5 ha ; le champ foulon. Le projet dont le premier bâtiment doit être fini en septembre 2024 et le dernier en 2027, sera le premier éco-hameau d'Île-de-France construit en milieu rural. Ce projet élaboré dès 2010 et destiné à éviter que le village ne se transforme en une cité-dortoir, a été élaboré avec l'aide du parc naturel régional et de l’école d’architecture de Nancy, prévoit la construction de vingt-sept logements, répartis dans cinq bâtiments et construits à l’aide de matériaux bio-sourcés et produits localement, avec notamment un système de phytoépuration, ainsi qu'une maison commune comme de pôle d’activités et de services (buanderies, un local à vélos, atelier de bricolage accessible à tous les habitants du futur éco-hameau)[26],[27],[28].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 237 habitants[Note 2], en évolution de −4,05 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
278246240192234225234230236
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
212210200171224193200192175
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
17615614912999719910294
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
108126148182194226231232239
2018 2021 - - - - - - -
242237-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Équipements et services publics

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L'école.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La commune compte un monument historique sur son territoire :

Seule église du Vexin français construite pendant la période classique avec Sagy, elle a été édifiée en 1747 grâce à un don du seigneur local, Gédéon-René de Sailly, en intégrant quelques voûtes romanes et gothiques de la précédente église, qui datait du XIIe siècle, et avait été agrandie aux XVe et XVIe siècles puis restaurée en 1648.
L'église actuelle est de plan rectangulaire, presque carré ; l'ensemble nef et bas-côtés portant sur trois travée de long et trois travées de large. Le chœur est polygonal. Le clocher trapu est placé au centre de la façade occidentale. Chaque face est percée, en haut, de deux baies abat-son plein cintre par face. Le portail rectangulaire est surmonté d'un oculus puis d'un fronton triangulaire. Il n'est pas flanqué de pilastres mais de simple bossages.
Le reste des façades renonce à toute ornementation, les angles, les contours des fenêtres et les limites des travées étant simplement soulignés par des chaînages en pierre de taille, qui servent autant la solidité. Sinon, l'appareil est en moellons réguliers noyés dans le mortier. Les fenêtres sont en plein cintre. L'intérieur abrite un retable d'autour de l'an 1700 et un confessionnal du XVIIIe siècle[33],[34].
Des vitraux sont implantés dans l'église en 2016, qui en était pratiquement dépourvus depuis la Seconde Guerre mondiale, soit en provenance de la Collégiale de Mantes, soit constituant des créations nouvelles[35].

On peut également signaler :

L'édifice du XVIIe siècle présente les caractéristiques du style Louis XIII, avec des chaînages en pierre blonde alternant avec la brique rouge. Le château compte deux étages, sans compter les combles qui ne sont que partiellement aménagés.
Le corps de logis principal porte sur sept travées, dont trois sur le corps central en légère saillie. Son fronton comporte au milieu une fenêtre deux fois plus haute que lui, surmonté d'un écusson. Les deux pavillons d'angle sont étroits, mais ont davantage de profondeur. Ils possèdent de hauts combles à la française, perpendiculaires au toit plus bas du corps de logis principal. Le château a été bâti pour la famille de Sailly, qui possède les terres de Saint-Cyr depuis le XVIe siècle, et gardera le château jusqu'à la première moitié du XVIIIe siècle. Les derniers seigneurs de Saint-Cyr seront ensuite les Guogné-de-Moussonvilliers.
La Révolution française provoque une destruction du château, qui reste encore en état de ruine. Le comte de Slade l'achète en 1808, le restaure et l'habite ; sa tombe et celle de ses enfants sont encore visibles dans l'enclos à côté de l'église. Il est ensuite racheté par Ambroise Firmin Didot, après 1850. Ce dernier entame la reconstruction du château neuf[34].
  • Bibliothèque du château : nouveau propriétaire, l'imprimeur Ambroise Firmin Didot fait construire cette maison dans le style néo-normand à proximité du château. À un étage et au toit de faible déclivité, le pavillon possède une façade portant sur cinq travées.
    Sa particularité réside en son décor en pans de bois, disposés de façon diagonale au rez-de-chaussée, et formant des losanges à l'étage. La porte, au milieu, est surmontée par un balcon en bois accessible depuis l'étage et couvert par un petit toit aigu agrémenté d'une horloge. À l'intérieur, des meubles en bois de chêne vitrés dans le style du Second Empire accueillent une riche collection de livres, recueillie par une importante famille d'imprimeurs sur plusieurs générations[34].
  • Lavoir de la Grande Vallée, rue du Parc
Il a la particularité de posséder deux bassins perpendiculaires, l'un avec l'emplacement des lavandières couvert d'un toit en appentis, l'autre au ciel libre. Les bassins et les murs sont maçonnés en moellons[34].
  • Un platane d'Orient situé dans le parc du domaine de la Bûcherie où il se reflète dans un petit plan d'eau, et vieux d'environ 400 ans, a été labelisé « Arbre remarquable de France », remis par l'association A.R.B.R.E.S en 2015[36]

Personnalités liées à la commune

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  • Ambroise Firmin Didot (1790-1876), imprimeur, éditeur, helléniste et collectionneur d'art français, est propriétaire du château de la Bûcherie à partir de 1850 environ. On lui doit la reconstruction du château neuf.
  • Jean-Paul Riopelle (1923-2002), artiste-peintre, graveur et sculpteur québécois renommé y avait un atelier dans les années 1970 et 80.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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  • « Saint-Cyr-en-Arthies », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Cyr-en-Arthies et Magnanville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Cyr-en-Arthies ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Transports », Notre village, sur saint-cyr-en-arthies.fr (consulté le ).
  12. Cocheris 1874.
  13. Nègre 1990, p. 97.
  14. Delamarre 2003, p. 59.
  15. Nègre 1990, p. 284.
  16. Dauzat et Rostaing 1979, p. 32.
  17. Delamarre 2003.
  18. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. « Les maires de Saint-Cyr-en-Arthies », sur francegenweb.org (consulté le ).
  21. Conseil constitutionnel : Liste de citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 1995, sur Légifrance
  22. O.Su., « Des saint-cyriens à la commémoration de l'armistice », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Etienne Jones, maire de Saint-Cyr-en-Arthies, dont un grand-père qu'il n'a pas connu a fait lui-même partie de « cette école militaire prestigieuse » s'est avoué « particulièrement ému » lorsqu'il a reçu une plaque commémorative des mains d'un de ces saint-cyriens non val-d'oisiens ».
  23. Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires, 3 août 2009 [PDF]
  24. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Saint-Cyr-en-Arthies : Martine Pantic réélue », La gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
  25. « Compte-rendu sommaire du 25 mai 2020 » [PDF], Informations municipales / Les conseils municipaux, sur saint-cyr-en-arthies.fr (consulté le ).
  26. Anne Collin, « Vexin : le premier hameau écolo d’Ile-de-France à la peine », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Maxime Laffiac, « Un éco-hameau va sortir de terre à Saint-Cyr-en-Arthies en 2021 : l s'agira du premier éco-hameau construit en milieu rural, dans la Région Île-de-France. La livraison finale est prévue en 2022 », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Maxime Laffiac, « Val-d'Oise. Éco-hameau à Saint-Cyr-en-Arthies : premiers coups de pioche en 2021 : Fort de vingt-sept logements, cet éco-hameau à Saint-Cyr-en-Arthies (Val-d'Oise) sera le premier construit en milieu rural, en Île-de-France », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Notice no PA00080193, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Saint-Cyr-en-Arthies, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 280.
  34. a b c et d Jean-Loup Corbasson, Pascal Goutrat et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Saint-Cyr-en-Arthies », Collection Le Patrimoine des communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 594-595 (ISBN 2-84234-056-6).
  35. Joseph Canu, « L'église renaît grâce à deux Yvelinoises : Martine Dupetit et Thérèse Aupaix œuvrent depuis 2008 à la rénovation de l'église Sainte-Julitte de Saint-Cyr-en-Arthies. L'histoire d'une passion tardive et d'une amitié », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Le platane de Saint-Cyr-en-Arthies labellisé « arbre remarquable », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).