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Olivier Grenson

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Olivier Grenson
Biographie
Naissance
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CharleroiVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
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Sylvie Roge (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Œuvres principales

Olivier Grenson, né le à Charleroi (province de Hainaut), est un auteur de bande dessinée belge.

Olivier Grenson naît le à Charleroi[1],[2] et est le fils d’un ingénieur et d’une peintre[3],[4],[5]. Il grandit à Marcinelle. Déjà à 10 ans[6], la passion de la BD l'anime[2]. Il dévore Tintin et Lucky Luke[7] et le journal Spirou[8]. Il lit Comment on devient créateur de Bandes dessinées de Franquin et Jijé et veut devenir à son tour un professionnel[8]. À 13 ans, il réalise sa première bande dessinée lorgnant vers Blueberry et Lucky Luke[9] qu'il photocopie et revend à des copains[10]. Dès que ses études le lui permettent, inscrit à l'Académie des beaux-arts de Châtelet, il suit les cours de Vittorio Leonardo[6],[2]. Après des humanités scientifiques, il étudie de 1981 à 1985 le cinéma d'animation à l'École de recherche graphique de Bruxelles (ERG)[5]. Il y réalise un court métrage de 3 min 40 s Sauve qui peut diffusé sur la RTBF[5]. Le soir, il rejoint l'atelier d'Eddy Paape[11], qui le fait entrer en 1983[12],[13] au Journal de Tintin[14],[5].

Les débuts

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Grenson y publie la série humoristique Aldose et Glucose[15] de 1984 à 1986. Dans ce même journal, il réalise ses premières histoires « réalistes » - comme La Mine d'or de Randy Wilson - sur un scénario des sœurs Renée et Jeanine Rahir[16].

Olivier Grenson enseigne depuis 1988[3] le dessin puis la bande dessinée et la narration à l'ERG et anime pendant six ans (de 1989 à 1995) la rubrique BD pour l'émission Clip Clap sur RTL TVI[5].

Ses projets de série avec Pierre Joassin (Charles-Edmond Vandemeulebroeck) et Denis Lapière (Les Démons d'Ariane) ne trouvent pas d'éditeurs, tandis que son adaptation en bande dessinée de la série télévisée Malvira de Patrick Chaboud capote pour des raisons de droits[14].

Parallèlement, il entame une série de collaborations avec Patrick Chaboud, dont une dizaine d’affiches pour le Magic Land Théâtre[2].

Après la publication de deux histoires courtes de Jack et Lola avec Patrick Chaboud pour la revue Circus[17] en 1988[14], il publie trois gags dans Spirou[18] en 1989.

Carland Cross

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Grenson rencontre Michel Oleffe en 1990. Il réalise sept épisodes de la série fantastique Carland Cross[19] avec Michel Oleffe publiés dans la collection « BDévasion » aux Éditions Claude Lefrancq.

Avec Jean Dufaux

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En 1999[20], Jean Dufaux lui donne l’occasion de créer son héros[3] : Niklos Koda[21], aux éditions Le Lombard. Le premier cycle de 10 albums s'est achevé à la fin de 2008[3]. Le , il publie Carnet d'auteur chez Snorgleux Éditions[22].

Les romans graphiques

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Grenson adopte un dessin en couleur directe pour la réalisation de La Femme accident[23] dans la collection « Aire libre » aux éditions Dupuis sur un scénario de Denis Lapière.

En , il réalise le dessin de l'affiche du 20e festival de la Ville de Plan-de-Cuques[24].

En marge de la série Résistances du scénariste Jean-Christophe Derrien, il réalise l'illustration d'un récit historique de 6 planches autour de l’univers sonore de la résistance dans l'album Vivre libre ou mourir ! - 9 récits de résistance[25], Les huit autres récits sont illustrés par Olivier Brazao, Nicolas Delestret, Raphaël Drommelschlager, Hugues Labiano, Claude Plumail, Mara et Béatrice Tillier, publié aux éditions Le Lombard en .

Il publie ensuite au Lombard, dans la collection « Signé », le diptyque La Douceur de l'enfer en tant que scénariste et dessinateur à la fois. L'histoire compte 180 pages et le tome 2[26] est sorti en .

Le , il publie Carnet d'auteur II chez Snorgleux Éditions[27].

voit le retour de Niklos Koda avec La Danse du diable et le début d'un nouveau cycle. C'est également à ce moment que le Centre belge de la bande dessinée organise une exposition rétrospective au musée de la BD jusqu'au [28]. En , il publie un récit Retrouvailles en 8 planches sur un scénario de Rudi Miel dans l'album collectif Partenaires[29],[30] et par ailleurs, il réalise l'affiche et préside le 14e Festi BD de Moulins[31],[32]. En sort L'Océan[33]. Le paraît le livre de Thierry Bellefroid L'Âge d'or de la bande dessinée belge[34] aux éditions Les Impressions nouvelles et dont le dessin de couverture sera repris comme visuel de l'affiche de l’exposition éponyme au Centre Wallonie-Bruxelles (Paris)[35].

On retrouve Niklos Koda le dans No Song. Olivier Grenson s'associe à Philippe Decloux, Vincent Baudoux et Robert Nahum pour créer une revue de récits graphiques : 64_page[36],[5]. Il s'ensuit la publication du tome 14 Le Spiborg qui sort en 2016, pour terminer la série avec le 15e et dernier opus de la série : Le Dernier Masque en 2017[5].

Judith Warner, 13e opus de la série XIII Mystery et le seul scénarisé par Jean Van Hamme, sort en 2018[37],[38]. Cet opus est sélectionné par Henri Filippini comme bande dessinée de la semaine et pour lequel il écrit : « Olivier Grenson (Niklos Koda) propose des images lumineuses de son trait puissant et vivant. Décors et personnages sont familiers aux lecteurs de la série sans que le dessinateur ne trahisse son propre style. Un travail d’orfèvre[39]. »

En , il réalise un dépli-BD inédit pour le mook Tintin, c’est l’aventure no 2, édité par Moulinsart et le Géo, (ISBN 2810427682)[2],[40],[6].

Sur un scénario de son épouse Sylvie Roge[2],[41], il dessine La Fée assassine qui est publié au Lombard en [42].

Le confinement consécutif au Covid-19 lui permet d'achever le roman graphique Le Nageur solitaire publié chez Kennes Éditions en [43],[44],[45]. En 2023, il rend hommage à Olivier Rameau de Dany et Michel Greg dans Tintin numéro spécial 77 ans[46].

En 2024, il réalise seul le roman graphique Le Partage des mondes[47],[48],[49],[50] publié aux éditions Le Lombard. Il conte l'histoire du vieil Isaac, un jardinier de Kensington qui a perdu sa femme Eva sous les décombres, pendant le Blitz londonien. Il fait la rencontre de Mary, une petite fille évacuée qui ne retrouve plus sa famille pendant que les sirènes retentissent. L'ouvrage est favorablement reçu par Gilles Ratier, rédacteur en chef du site BDzoom : « Plus de 200 pages, dans un album au format traditionnel, aussi émouvantes que pertinentes[51] ! »

Parallèlement, il apporte sa contribution graphique à Il était une fois le Mondiale (Paul Ide, 1990), Animaux a(d)mis (Alliance européenne, 1990), Flash Back (Comic! Events, 1995), Le Jour des trois soleils (1997), Les Chansons illustrées de Patrick Bruel (Soleil, 2005), Walthéries - Les auteurs BD fêtent François Walthéry (GPRD, 2012)[52].

En termes d'influences, Grenson avoue s’inspirer de Mœbius (Le Garage hermétique), des dessinateurs italiens Mattotti, Battaglia, Toppi, Gipi. Éclectique, ses influences sont également cinématographiques avec Hitchcock et Lang ou viennent d'artistes tels que David Hockney, Dave McKean. La musique de Pink Floyd l'accompagne souvent pendant sa création[53].

Selon Philippe Wurm[54] :

« Olivier Grenson est un passeur. [...] Il enseigne depuis bientôt 35 ans et aide les nouvelles générations grâce à sa sensibilité et à la formation prestigieuse qu’il a reçue. C’est une chance pour la bande dessinée en Belgique (surréaliste !) et au-delà. »

Albums de bande dessinée

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XIII Mystery (2018)

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La Fée assassine (2021)

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Le Nageur solitaire (2021)

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Le Partage des mondes (2024)

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Catalogues d'exposition

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À l'occasion, Olivier Grenson réalise des portfolios, ex-libris, tirés à part, marque-pages, posters, cartes ou cartons, étiquettes de vin ou de champagne et commet quelques travaux publicitaires[90]. Grenson réalise une pochette de disque pour Los Chicos[91]. Il réalise également des affiches de festivals de bande dessinée[52].

Hommages rendus

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Grenson rend hommage à Jean Dufaux avec l'exposition Jean Dufaux, les mots derrière l’image tenue à la bibliothèque municipale de Reims en 2006[92]. Lors du décès de son ami Tibet, il dessine un Ric Hochet songeant à son créateur devant une planche d'où s'envolent les personnages de son autre série Chick Bill[93]. En refaisant la couverture de Blanc Casque, c'est cette fois à Jijé que l'hommage est rendu[94]. À l'occasion des 50 ans de carrière de François Walthéry, il lui rend hommage ainsi qu'au Vieux Bleu et au P'tit Bout d'chique dans Walthéries - Les auteurs BD fêtent François Walthéry en 2012. Le , il fait partie des 48 auteurs du Chat qui griffent le numéro surprise de journal Le Soir en cachette de Philippe Geluck mais avec la complicité de son studio[95]. À la disparition de Philippe Delaby, il lui rend hommage avec une couverture de La Pourpre et l'Or dont la statue pleure[96]. Avec le dessin de la couverture du catalogue de l'exposition L'Âge d'or de la bande dessinée belge[34], Grenson réalise un hommage à ses aînés de l'École belge : Morris, Peyo, Jacobs, Macherot, Comès, Hermann, Lambil, Hausman, Graton, Will. Pour le 70e anniversaire de Marc Wasterlain, il interprète le Docteur Poche à sa façon[97]. Pour la réédition de l'album Le Réseau Madou, il rend hommage à Thierry Laudacieux d'Alain Goffin[98]. Lors de l'exposition Ever Meulen and Friends à Bruxelles en , c'est à ce dernier qu'il rend hommage[99]. Grenson rend un dernier hommage à Tome, lors de son décès soudain et inattendu en [100] et participe au Spirou numéro spécial Hommage à Tome no 4256 du qui restera exceptionnellement en kiosque pendant quatre semaines[101],[18].

Expositions

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Expositions personnelles

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Expositions collectives

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  • BD en 33 tours - 40 dessinateurs et illustrateurs ont revisité les pochettes de vinyle 33 tours de leur groupe ou artiste favori, Waterloo de à [117],[118]
  • Jean Dufaux, les mots derrière l’image, bibliothèque municipale de Reims en collaboration avec les éditions Dargaud du au [92].
  • 20e anniversaire de la collection « Aire libre » - Rétrospective Olivier Grenson, Galerie Maghen - Paris du au [119],[120]
  • United Comics of Belgium du au , commissaire de l'exposition collective de 27 autrices et auteurs de bande dessinée belge représentatifs de la création belge en 2020 dont quelques œuvres du Nageur solitaire[121],[122],[123],[124],[2].

Collections publiques

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1 œuvre de cet artiste est conservée à la Maison Autrique et fait partie du patrimoine mobilier de la région Bruxelles-Capitale[125].

Prix et distinctions

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Prix décernés pour le diptyque la Femme Accident réalisé avec Denis Lapière en 2010
Prix décernés pour le diptyque La Douceur de l'Enfer

Notes et références

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  126. a et b « Lauréats de la C.B.E.B.D. », sur meletout.net/expertbd, Chambre belge des experts en bande dessinée (consulté le ).
  127. a et b « Le Golem, réédition de 1997, 2ème plat », sur BD Gest' (consulté le ).
  128. Marc Bauloye, « Le dessinateur de l'impossible... », Coup d'œil, no 26,‎ , p. 4.
  129. « Olivier Grenson - Scénariste et dessinateur », sur Le Lombard (consulté le ).
  130. Olivier Grenson (Shesivan alias Patrick Verlinden), « Interview BD "Olivier Grenson" - Lauréat César BD d'Auderghem 2010 (BD tout public) », génération BD,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  131. Fabrice Piault, « Le palmarès des dBD Awards : Le magazine spécialisé dBD a décerné, jeudi 5 janvier, ses prix annuels de bande dessinée. », Livres Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  132. Marc Carlot, « 5e cérémonie de remise des prix Diagonale à Louvain-la-Neuve », sur Auracan, .
  133. (nl) Jan Van Loon, « Stripprijs van de Noordzee », sur stripfestivalknokkeheist.be (consulté le ).

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Périodiques

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  • Marc Bauloye, « L'irrésistible ascension d'Olivier Grenson », Rêve-en-Bulles, no 9,‎ , p. 20-21
  • Olivier Grenson (interviewé par Nicolas Anspach et Marc Carlot), « Olivier Grenson », Auracan, no 9,‎ , p. 5-9.
  • Olivier Grenson (interviewé par Jean-Louis Lechat), « Pour moi le dessin est un moyen de séduction », La Lettre - L'officiel de la bande dessinée, Dargaud, no 49,‎ , p. 20-21.
  • Dany, « L'Invité de Dany : Olivier Grenson », dBD, no 5 (cahier n°2),‎ , p. 41.
  • Olivier Grenson (interviewé par Olivier Maltret), « L'Invité de Dany : Olivier Grenson », dBD, no 5 (cahier n°2),‎ , p. 42-48.
  • Olivier Grenson (interviewé par Jean-Pierre Fuéri), « Grenson : Koda c'est magique », Avant-première, no 18 (supplément Niklos Koda),‎ , p. 3-14.
  • Olivier Grenson (interviewé par Jean-Louis Lechat), « Grenson in Koda venenum ! », La Lettre - L'officiel de la bande dessinée, Dargaud, no 74,‎ , p. 36-37.
  • Olivier Grenson (interviewé par Frédéric Bosser), « À la une : La révélation Grenson », dBD, no 53,‎ , p. 18-23 (ISSN 1951-4050).
  • Olivier Grenson (interviewé par Frédéric Bosser), « Olivier Grenson : L'Envol d'un enfant de la balle », dBD, no 77,‎ , p. 29-35.
  • Olivier Grenson (interviewé par Frédéric Bosser), « La Bataille du VIe livre », L'Immanquable, no 48,‎ .
  • Olivier Grenson (interviewé par Frédéric Bosser), « Dossier spécial XIII : Olivier Grenson : L'Élu », dBD, no 127,‎ , p. 48-51.
  • Joël Grégoire, « Sur les traces du ténébreux Niklos Koda », La DH Les Sports+,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • Michaël Kaibeck, « Ça ne fait que commencer... », La DH Les Sports+,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • Olivier Grenson (interviewé par Denis Senié), « Grenson: 10 ans de Koda, mais pas que... », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • Christian Laporte, « Bruno Coppens et des cerfs-volants décorés par des artistes à Woluwe-St-Pierre », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le )
  • Daniel Couvreur, « Olivier Grenson, le tragédien romantique - Portrait d’un homme optimiste. », Le Soir,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le )
  • Daniel Couvreur, « Olivier Grenson, le poète graphique », Le Soir,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le )
  • Olivier Grenson (interviewé par Jean Bernard), « Heurs et malheurs des auteurs », La Libre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  • Olivier Grenson (interviewé par Jean-Laurent Truc), « Interviews : Interview : Olivier Grenson avec Le Partage des mondes « j’ai créé un iceberg dont le lecteur ne voit que la pointe » », Ligne claire,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Émissions de télévision

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  • Olivier Grenson dans son atelier, présenté par Éric Russon sur az-za.be (min 35 s), .
  • La Femme accident d'Olivier Grenson, en expo et en intégrale sur Télésambre, reportage V. Bocquet - Q. Flament - R. Maes (min 35 s), 2017.
  • Kaboom ! - Tome #67 – Olivier Grenson sur RTL-TVI, présentation : Thibaut Fontenoy - réalisation : Patrice Gautot - production : Bangarang (14 min 59 s), Voir en ligne.

Vidéographie

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Liens externes

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