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Forvia

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Forvia
logo de Forvia

Création 1997
Dates clés 2009 : Rachat d'Emcon Technologies
2010 : Rachat des activités allemandes et espagnoles de Plastal
2012 : Rachat de Sora Composites et de Plastal France
2021 : Désengagement de Stellantis
2022 : rachat de l'allemand Hella
Forme juridique Société européenne [1]
Action Euronext : EO
Slogan Inspiring Mobility
Siège social Nanterre (Hauts-de-Seine)
Drapeau de la France France
Direction Patrick Koller
Actionnaires Exor, Peugeot 1810, Bpifrance
Activité Équipement automobile
Produits Sièges
Échappements
Intérieurs de véhicules
Filiales Faurecia USA (d)
Clarion
Faurecia Emissions Control Technologies, Mladá Boleslav (d)
ET Dutch Holdings (d)
Faurecia France (d)
Faurecia Canada (d)
Faurecia Automotive Czech Republic (d)
Faurecia Allemagne (d)
ET Dutch Holdings III (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Effectif 75 500 en 2024
SIREN 542005376Voir et modifier les données sur Wikidata
TVA européenne FR96542005376[2]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.faurecia.com

Capitalisation 6,5 milliards d'euros fin 2019
Chiffre d'affaires 17,5 milliards d'euros en 2018
Résultat net 952 millions d'euros en 2018[3]
Société précédente Sommer-AllibertVoir et modifier les données sur Wikidata

Forvia (anciennement Faurecia jusqu'en 2022) est un groupe français d'ingénierie et de production d'équipements automobiles. L’entreprise développe, fabrique et commercialise des équipements destinés aux constructeurs automobiles : sièges, systèmes d’intérieur (planches de bord, panneaux de porte, éléments de décoration et modules acoustiques…), technologies de contrôle des émissions (échappements, réservoir à hydrogène, packs de batteries).

Le groupe naît en 1998 de la fusion d'ÉCIA (Équipements et composants pour l’industrie automobile), filiale de PSA créée en 1987 à partir d'anciennes divisions du groupe[4], et du producteur de sièges automobiles Bertrand Faure. En 2001, Faurecia achète l'équipementier automobile Sommer-Allibert. En décembre 2015, PSA passe pour la première fois sous la barre des 50 % au capital, les opérations en cours le faisant passer à 46,4 % et 63 % des droits de vote[5].

L’impact de la crise en 2008

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Confronté à un outil industriel peu performant (coûts de production, qualité insuffisante…) au début des années 2000 et à l'écart de la forte croissance aux États-Unis, le groupe traverse en 2005-2006 une période difficile alors que l’industrie automobile profite globalement de la croissance du marché.

En 2007 et 2008, malgré sa modernisation, l'entreprise est durement touchée par la crise économique fin 2008, ne gardant qu'une très faible marge opérationnelle à 0,8 % (91,2 millions d’euros) contre 1 % en 2007 (121,1 millions d’euros). Des charges de restructurations ont creusé sa perte nette à 574,8 millions d'euros, contre 237,5 millions en 2007. Une augmentation de capital de 450 millions d’euros, garantie à 100 % par PSA, est soumise au vote des actionnaires le [6]. Elle est lancée en avril 2009[7] et réussit (son montant brut total est de 455 374 192 euros[8], par émission de 65 053 456 actions nouvelles).

Le plan Challenge 2009

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Le plan Challenge 2009 alors adopté a pour objectif d’abaisser le point mort de 15 % pour créer un effet de levier au retour de la croissance[9] et vise une réduction des coûts de 600 M€ tout en maintenant les budgets Recherche et Innovation[10]. Parallèlement, l’entreprise cherche à renforcer sa présence hors Europe et mise en particulier sur les marchés émergents notamment l’Asie[11].

Toujours en 2009, avec le rachat de l'américain Emcon Technologies, numéro 3 mondial de l'échappement, Faurecia renforce sa position sur le marché du contrôle des émissions en Europe et en Amérique du Sud[12] et entre sur le marché des véhicules commerciaux (camions).

Depuis 2010 : acquisitions et internationalisation

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Au cours des années qui suivent, Faurecia procède à de nouvelles acquisitions[13] :

  • en 2010, Plastal Allemagne et Plastal Espagne, spécialisés dans les éléments de carrosserie en plastique (en particulier pour les mini-citadines Smart) ;
  • en juillet 2012, les activités automobiles de Sora Composites, spécialisé dans les plastiques composites et l'utilisation de fibres de verre et de carbone ;
  • en août 2012, Plastal France.

Parallèlement, Faurecia multiplie les accords avec des équipementiers internationaux[14], en particulier en Asie :

  • en 2010, accords signés en Chine avec les équipementiers Xuyang Group, Limin et Changan ;
  • en 2012, deux accords avec des fabricants japonais[15] :
    • avec Howa Textile Industry Co, pour la création d’une coentreprise dédiée aux panneaux de portes, à l'isolation de l'habitacle, aux pièces textiles,
    • avec NHK Spring : accord technique et commercial concernant la création de filiales en Chine et aux États-Unis.

Cette stratégie permet le retour de la croissance et la réduction de la dépendance à la situation du marché automobile européen. Après une année 2009 difficile, Faurecia a affiché une forte croissance en 2010 (+ 48 % du chiffre d’affaires)[16], ainsi qu’en 2011 et 2012. Les ventes sont portées par l’Amérique du Nord et l’Asie (respectivement + 32,6 % et + 16,1 % en 2011[17], + 41 % et + 24 % en 2012[18]).

En mars 2015, Faurecia annonce la création d'une coentreprise avec Dongfeng et ses partenaires occidentaux. Le chiffre d’affaires espéré à terme de la coentreprise est de 2 milliards d'euros[19]. Le même mois, Faurecia en difficulté financière, licencie 126 employés dans les Vosges dans le bassin de Saint-Dié-des-Vosges[20].

En décembre 2015, Faurecia annonce que Plastic Omnium a l'intention d'acquérir pour 665 millions d'euros l'activité de pare-chocs de Faurecia, qui emploie 7 700 personnes. Plusieurs unités de productions comme celles liées aux matériaux composites, celles liées à la marque Smart et les coentreprises au Brésil et en Chine ne font pas partie de cette acquisition[21].

En mars 2018, Faurecia annonce l'acquisition de Hug Engineering, entreprise suisse spécialisée dans la purification des gaz d'échappement des moteurs à forte puissance[22]. En octobre 2018, Faurecia annonce l'acquisition de Clarion, une entreprise japonaise spécialisée dans les systèmes de navigation, filiale d'Hitachi, pour 1,3 milliard de dollars[23].

En marge de la révélation en octobre 2019 de la fusion entre PSA et Fiat Chrysler Automobiles, Peugeot annonce son désengagement de l'entreprise dont il détient 46,3 % du capital et 63,1 % des droits de vote, ces titres devant être distribués aux actionnaires de PSA. Si Faurecia disposait d'une marge opérationnelle de 7,3 % en 2018, la perte de son actionnaire de contrôle intervient au moment d'un retournement du marché automobile[24].

En , Symbio, entreprise française produisant des systèmes hydrogène pour véhicules, devient une coentreprise à 50 %-50 % de Faurecia et Michelin[25].

En janvier 2021, lors de la fusion de PSA avec le groupe Fiat-Chrysler, la participation de Stellantis est abaissée de 46,3 % à 39 % puis redistribuée à ses propres actionnaires[26].
Le 14 août 2021, Faurecia annonce l'acquisition d'une participation de 60 % dans Hella pour 3,4 milliards d'euros, ainsi qu'une offre sur le capital restant, valorisant l'entreprise à 6,7 milliards d'euros[27]. Faurecia et Hella créent ensemble le groupe Forvia[28].

Le 30 juin 2022, le groupe rejoint le consortium GravitHy[29],[30].

Le 30 mai 2023, l'assemblée générale des actionnaires vote le changement de nom de Faurecia SE à Forvia SE[31].

En février 2024, l'équipementier automobile annonce la suppression de 10 000 postes en Europe à l'horizon 2028 sur les 75 500 que compte le groupe[32]. Parmi les raisons invoquées se trouvent la baisse de la demande et la concurrence chinoise. Forvia prévoit de réduire ses effectifs européens de 13 %, grâce à un « taux d'attrition » important et une baisse des recrutements[33].

En 2013, Faurecia est le leader mondial de l’intérieur du véhicule et des technologies de contrôle des émissions.

Au 31 décembre 2012[34], l'entreprise est présente dans 34 pays, via 320 sites et 30 centres de R&D, avec environ 94 000 salariés dont 5 500 ingénieurs et techniciens (61 000 en 2007, 58 000 en 2008, 62 000 en 2009, 75 000 en 2010).

Le groupe s'est structuré autour de 4 activités :

  • Faurecia Automotive Seating : mécanismes et structures de siège ;
  • Faurecia Interiors : intérieur du véhicule ;
  • Faurecia Clean Mobility (autrefois Faurecia Control des Émissions) : technologies de contrôle des émissions ;
  • Faurecia Clarion Electronics (depuis le 01/04/2019) : électronique embarquée et systèmes ADAS à basse vitesse.

Implantations

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Le siège social du groupe se trouve à Nanterre. Le groupe est présent dans 34 pays avec 320 sites et 30 centres majeurs de R&D. (chiffres 2013).

En 2013, Faurecia est principalement présent en :

Données financières

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Données financières en millions d'euros[35]
Années 2016 2017 2018 2019 2020 2021 est
Chiffres d'affaires (M€) 18 711 16 962 17 525 17 768 14 654 16 635
Résultat d'exploitation (M€) 970 1 170 1 274 1 283 406 1 126
Résultats net (M€) 638 610 701 590 -379 512
Dettes (M€) 342 452 478 2 524 3 128 2 749

Actionnaires

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Au 31 mars 2021[36] :

Exor N.V. 5,50 %
Peugeot 1810 3,20 %
État français (Bpifrance) 2,40 %
Dongfeng Motor Corporation 1,46 %
Flottant 85 %

Au 28 avril 2019[37].

Groupe PSA 46,3 %
Oddo BHF Asset Management 2,36 %
Norges Bank Investment Management 1,48 %
The Vanguard Group 1,46 %
Invesco Asset Management Deutschland 1,29 %
BNP Paribas Asset Management France 1,23 %
BlackRock Fund Advisors 0,88 %
JPMorgan Asset Management 0,67 %
Amundi Asset Management 0,65 %
Lyxor International Asset Management 0,62 %

Faurecia oriente sa stratégie de recherche et développement autour de 3 axes :

  • la performance environnementale, en développant des solutions de contrôle des émissions, de récupération d’énergie (par exemple pour chauffer l’habitacle) et en utilisant des matériaux bio-sourcés.
  • la réduction de la consommation de carburant, essentiellement via l’allègement des produits (siège, équipement intérieur, pare-chocs et échappement représentent de 15 à 20 % de la masse totale d’un véhicule)
  • des solutions de confort et style personnalisés.

La R&D chez Faurecia a représenté 956 M€ en 2014[38], soit 5,4 % du CA. L’entreprise dépose chaque année 300 nouvelles demandes de brevets en moyenne (avec un record à 460 brevets en 2012) dans les domaines produits, matériaux et procédés de fabrication.

Entre 2009 et 2012, Faurecia a créé plusieurs centres de R&D, en France et à l’étranger :

  • ouverture d’un laboratoire électronique pour Faurecia Sièges d’automobiles dans le TechCenter de Brières-les-Scellés en 2011[39];
  • centre de développement à Limeira au Brésil, dédié aux Technologies de Contrôle des émissions en 2012[40] ;
  • nouveau centre de R&D en Inde à Pune en 2012[41];
  • le 14 novembre 2013, Faurecia annonce doubler son investissement dans le site de Chennai en Inde[42].

Faurecia développe également des partenariats avec ses fournisseurs, les instituts de recherche, le monde universitaire :

  • lancement d’une chaire sur les composites avec l’École Centrale de Nantes en 2011[43],
  • création de chaires :
    • « mécatronique automobile » avec Supelec et ESIGELEC[44],
    • « lignes d’assemblage et logistique » avec l’École centrale Paris (ECP, France) et la Technische Universität Munchen (TUM, Allemagne),
    • « matériaux métalliques et procédés de transformations innovants » avec la Technische Universität Dortmund (TUD, Allemagne)[45]
    • « composites industriels pour applications automobiles » avec l'École centrale de Nantes.

Direction de l'entreprise

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Conseil d'administration

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La société ne possède pas de conseil de surveillance.

Au  :

Yann Delabrière auparavant chargé des affaires financières de Groupe PSA a succédé à Grégoire Olivier, nommé le . À l'issue de l'Assemblée Générale du 30 mai 2017, il est nommé dans le rôle de Président d'honneur de Faurecia et Michel de Rosen le remplace.

Principaux concurrents

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Les sociétés américaines Johnson Controls et Visteon sont les principales concurrentes du groupe Faurecia. On compte aussi Tenneco, Lear, Magna et Plastic Omnium parmi ses concurrents.

Fin 2012, Faurecia est 5e du classement mondial des équipementiers les plus performants du secteur automobile, établi par l’Usine Nouvelle et le cabinet Roland Berger[46], derrière Continental AG, Hyundai Mobis, Cummins, Bosch. Il est le 1er français devant Michelin (11e), Valeo (13e) et Plastic Omnium (25e).

Affaires et controverses

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Affaire Faurecia

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En juillet 2006, la justice allemande ouvre une enquête portant sur des soupçons de versements de pots-de-vin à des cadres des constructeurs automobiles de BMW et Volkswagen. Pierre Levi, alors PDG de Faurecia, reconnut être au courant de ces agissements qui avaient commencé avant sa présidence (pratiques héritées de Sommer-Allibert, achetée en 2000[47]).

Il fut aussi reconnu contre Pierre Levi le fait de ne pas avoir mis fin à ces pratiques assez rapidement. Il remit sa démission au conseil d'administration de Faurecia le [48]. L'affaire impliquerait les marques Volkswagen, Audi, BMW et Seat, mais d'autres équipementiers comme Lear seraient visés.

Pierre Levi est condamné par la justice allemande en 2007 à une peine d'un an avec sursis et 300 000 euros d'amende[49].

Affaire Faurecia contre Oracle

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Après la livraison en retard d'un produit informatique d'Oracle à Faurecia en 1998, Faurecia cesse complètement les paiements, plutôt que d'accepter uniquement le dédommagement prévu par la clause de responsabilité limitée du contrat. Le litige va jusqu'en cour de cassation, qui tranche en 2010 en faveur d'Oracle. Ceci valide et renforce ainsi le principe des clauses limitatives de responsabilité dans les contrats en France[50].

Notes et références

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  1. Société Anonyme
  2. « https://amadeus.bvdinfo.com/version-2019829/ », sous le nom FAURECIA (consulté le )
  3. « FAURECIA SE : Données Financières Prévisions Estimations et Attentes », sur zonebourse.com (consulté le ).
  4. Actes du Gerpisa, page 24
  5. « PSA passe sous la barre des 50 % du capital de Faurecia », ouest-france.fr, (consulté le )
  6. « Faurecia double sa perte nette en 2008 mais montre des signes de résistance » Accès payant, sur Autoactu.com, (consulté le ).
  7. titre manquant, Le Figaro.
  8. Document de Référence Faurecia 2012.
  9. « Faurecia a assaini sa situation, mais beaucoup reste à faire », L'Usine nouvelle, (consulté le )
  10. Article Boursier.com Faurecia: mise en place d'un plan de crise
  11. Article Le Figaro
  12. Article L'Usine Nouvelle
  13. Article La Tribune
  14. « "Faurecia combine acquisitions et alliances" », sur L'Express, (consulté le ).
  15. « L'équipementier auto Faurecia multiplie les acquisitions », sur La Tribune, 2012-09-03cest17:45:31+0200 (consulté le ).
  16. Présentation financière Faurecia 2011
  17. Document de référence Faurecia 2012
  18. Communiqué de Presse FAurecia: résultats annuels 2012
  19. Faurecia forms car parts joint venture with China's Dongfeng, Laurence Frost, Reuters, 31 mars 2015
  20. « magnumlaradio.com/economie-soc… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  21. Plastic Omnium va racheter les pare-chocs de Faurecia, Usine Nouvelle, 14 décembre 2015
  22. « Faurecia finalise le rachat du suisse Hug dans la purification des gaz d'échappement », Investir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. (en) Sudip Kar-Gupta, « Car parts group Faurecia swoops on Clarion in $1.3 billion deal », sur Reuters,
  24. Lionel Steinmann, « L'idylle entre PSA et Fiat-Chrysler laisse Faurecia sur le bord de la route », sur lesechos.fr, (consulté le )
  25. Dimitri Delmond, « Hydrogène : Michelin accueille Faurecia au capital de Symbo, qui devient leur coentreprise », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Lionel Steinmann, « Faurecia se prépare à la vie sans PSA », sur lesechos.fr, (consulté le )
  27. « Avec l’objectif de devenir un géant de l’équipement automobile, Faurecia va racheter 60 % de l’allemand Hella », sur Le Monde,
  28. « Né du rapprochement de Faurecia et Hella, Forvia devient le 7e équipementier automobile mondial », sur BFM BUSINESS (consulté le )
  29. « Projet GravitHy : la zone de Fos, bientôt pôle européen de production d'acier vert ? - », sur Gomet, (consulté le )
  30. Myrtille Delamarche, « GravitHy, l'acier décarboné tricolore », L'Usine nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le )
  31. « Faurecia poursuit son chemin sous un nouveau nom », sur investir.lesechos.fr, (consulté le )
  32. « Forvia va supprimer jusqu’à 10 000 emplois en Europe d’ici à 2028 » Accès libre, sur Le Monde,
  33. Forvia va réduire ses effectifs en Europe face à la concurrence chinoise, 19 février 2024
  34. Communiqué de Presse Faurecia : Résultats annuels 2012
  35. Zone Bourse, « FAURECIA : Données Financières Prévisions... », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  36. « Structure du capital », sur Faurecia (consulté le )
  37. Zone Bourse, « FAURECIA : Actionnaires Dirigeants et Profil Société | EO | FR0000121147 | Zone bourse », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  38. Site Faurecia : Chiffres clés
  39. Article Boursier.com
  40. Article Lefigaro.fr
  41. Communiqué de Presse Faurecia
  42. Article du Hindu Business Line du 15/11/2013
  43. Communiqué École Centrale Nantes
  44. Actu sur le site Esigelec
  45. Document de Référence 2012 Faurecia, page 66
  46. Article Usine Nouvelle
  47. « Sommer-Allibert offre à Faurecia des ambitions mondiales - Equipementiers », sur usinenouvelle.com/ (consulté le ).
  48. Le Monde, 4 août 2006, page 10
  49. « Clémence pour Pierre Lévi, l'ancien patron de Faurecia », sur usinenouvelle.com, (consulté le )
  50. « Affaire Faurecia : Oracle réussit à limiter sa responsabilité (MAJ) », sur lemondeinformatique, (consulté le )

Articles connexes

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Liens externes

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